The Ghost Map: A Street, an Epidemic and the Hidden Power of Urban Networks. (English Edition)

It's a great historical read on the London Cholera epidemic of 1854, and John Snow's brilliant investigation trying to prove it is the water source that is causing it. It paints a wonderful picture of a 2 million person city that has outgrown its sewage system and infrastucture, fascinating read!

Well researched and well told true story. Life and conditions in 1850 London tha lead to the cholera outbreak and discovery of the cause are well explained (though sometimes in too much detail).

La partie historique de ce livre est absolument passionnante.Si l'on résume, avant l'épidémie de Choléra à Londres au printemps 1854, la cause de la maladie était attribuée aux "miasmes", au manque d'hygiène, voire à la faiblesse morale de ses victimes.Durant l'épidémie et immédiatement après, sur l'impulsion du médecin John Snow, et avec l'appui d'un vicaire, Henry Whitehead, une enquête épidémiologique a été effectuée, sur des bases purement scientifiques. La carte dressée après coup par John Snow, qui repère de quelle source d'approvisionnement en eau chaque immeuble était le plus proche, ainsi que le nombre de morts dans chaque immeuble, est restée extrêmement célèbre. Une recherche intitulée "john snow varonoi" vous enverra à la meilleure version, qui comporte une frontière essentielle à la compréhension du phénomène. Les chercheurs londoniens n'avaient pas la compétence technique pour détecter le bacille dans l'eau de boisson, mais ils avaient déterminé la source de l'infection par d'autres méthodes.Cette recherche prouva sans aucun doute que l'eau souillée était responsable de la propagation de la maladie. L'acceptation officielle de cette thèse, même si elle prit du temps, mena à la construction d'un système d'égouts de bonne qualité à Londres et empêcha d'autres épidémies.La suite de l'ouvrage digresse sur l'avenir des grandes métropoles et est moins intéressante. En partie parce qu'elle ne s'appuie pas d'aussi près sur les données scientifiques.Le principal reproche que je ferai à cet ouvrage : les notes ! En version kindle, rien n'indique dans le texte principal l'existence de notes, et rien ne permet d'y accéder en cours de lecture, il n'y a pas d'hyperlien. Ce manque est particulièrement grave lorsqu’on lit un essai scientifique. Les notes donnent de nombreuses précisions sur les sources utilisées, surtout ici où l'auteur a voulu garder une narration relativement fluide.Le livre lui-même a 5 étoiles malgré ses faiblesses sur la fin, l'édition kindle 2,5 étoiles.

Steven Johnson's narrative initially grabs you by the throat and the book is literally a page turner if there ever was one. A parade of the most appaling professions with which people eked out a meagre existence, the hairraising living conditions of the majority of Londoners and the very vivid and utterly dramatic description of the course of the disease (most people who contracted cholera died within 48 hours and knew it; they often saw their families dying before their very eyes without being able to do anything) makes you realise how lucky we are to be living in the present and not in Victorian times. But after 228 pages Johnson loses his thread somewhere and the remaining thirty-odd pages are quite frankly awfully boring and have little or no bearing on what went on before. An editor would have been welcome indeed. But since the lion's share of the book deserves eight stars and only the last tiny bit two, my verdict in the end would be five.